Premier témoignage :
Non seulement le ….continue de fermer ses portes au-delà de l’heure réglementaire (plus de 3 heures du matin le samedi 17 novembre) mais il poursuit également ses tapages nocturnes sans aucune sanction. Les amendes ne suffisent pas. Nos appels récurrents au services de l’ordre durant la nuit ne freinent pas les délires du gérant et de ses clients, quand toutefois ils passent! Le voisinage immédiat est simplement excédé et à bout de nerfs. Vendredi mes voisins et moi-même avons appelé plus de cinq fois la police sans aucun effet.. Vous imaginez mal à quel point nous sommes exaspérés et épuisés.
Deuxième témoignage :
Je signale un concert LIVE de rock dans le Bar ….Le bar a les portes fermées, et pourtant la musique s’entend à tue-tête depuis la rue, et même depuis mon appartement situé en face, les vitres fermées (double vitrage je précise).Je n’ose imaginer le bruit et les vibrations dans les appartements situés juste au-dessus du bar, au 1er étage. Après avoir passé toute la période des beaux jours, les baies vitrées grandes ouvertes en diffusant de la musique sans se soucier du voisinage, de bien évidemment ne jamais gérer la clientèle sortant de cet établissement, consommant de l’alcool sur le trottoir alors qu’il n’a pas de terrasse… maintenant on a le droit aux performances LIVE le dimanche soir…
Troisième témoignage :
Vous nous avez assuré que le bar rock … fait l’objet d’une surveillance renforcée et Mr …. a même déclaré que les patrouilles de la DPSP seraient améliorées, nous ne demandons qu’à vous croire, mais, pour nous voisins de cet établissement, rien ne change.
Vendredi de la semaine passée, plus d’une centaine de personnes étaient réunies pour un événement « spécial », et hier soir à nouveau, cris, chants nous empêchaient de dormir !Les riverains sont exaspérés, plusieurs personnes ont ouvert leur fenêtre des immeubles les plus proches pour tenter de faire cesser le vacarme. Oui, le droit de terrasse a été retiré à cause de ces nuisances, mais les clients sont toujours aussi nombreux devant l’établissement. Ce commerçant se fiche du monde, nous ne savons quels engagements il prend auprès des autorités qui s’adressent à lui, mairie, DPSP, commissariat mais, nous qui sommes aux premières loges ne voyons rien venir.
Voilà des mois et des mois que nous vous alertons sur cette situation, que nous déposons des mains courantes, des plaintes, que nous avons fait une pétition rassemblant plusieurs dizaines de signatures et pendant ce temps, le gérant fait des promesses mais continue ses affaires en pourrissant notre vie quotidienne.
Ce n’est pas une question de « confort », les répercussions sont graves pour certains, comme moi. Ma fille, étudiante en situation de handicap et dont les cours sont tôt le matin est épuisée. Plusieurs voisins avec qui j’ai discuté se sentent abandonnés, c’est une réelle détresse. Ceci, alors que nous sommes en novembre sous la pluie et le froid, je n’ose pas imaginer ce qui va se passer quand les beaux jours reviendront !
