Depuis sa fermeture administrative fin novembre, le gérant du … semble penser que les comptes sont repartis de zéro et qu’il peut donc faire ce que bon lui semble. Rien ne lui donne tort d’ailleurs. Les tapages ont donc repris, notamment le week-end et nos appels à la police également. Pas de travaux d’isolation. Il continue pourtant de diffuser de la musique à plein volume très régulièrement (c’est le cas alors que je vous écris). Sa clientèle continue de hurler. La consommation d’alcool est toujours hors de contrôle, en témoignent les vomissures qui jonchent régulièrement la devanture de l’établissement (la nuit du 31 décembre a laissé des traces pendant des jours) et surtout les cris d’ivrognes qui perturbent nos soirées et nos nuits. Dernier exemple en date, dans la nuit du samedi 12 janvier, j’ai téléphoné (à nouveau) à la police à deux heures du matin. Le restaurant était toujours ouvert, les clients étaient déchainés à l’intérieur et ils n’étaient certainement pas en train de manger. Les services de police étaient débordés à cette heure, comme on me l’a signalé au téléphone, le gérant de l’établissement n’a donc aucun souci à se faire et il peut fermer quand bon lui semble. Comment peut-on laisser ce type de situation perdurer ? Cet établissement est fiché, régulièrement verbalisé, a écopé d’une fermeture de neuf jours récemment et pour autant, il continue ses méfaits. Le gérant pleurniche, affirme qu’il n’a pas les moyens financiers pour effectuer les travaux d’isolation nécessaire. C’est trop facile de pourrir la vie de familles installées dans le quartier et d’en tirer de substantiels profits sans engager aucun frais.