fermeture administrative

fermeture administrative

Le restaurant … a fermé pendant neuf jours, sur décision administrative, suite à ses agissements passés. Visiblement, le gérant n’en a tiré aucun enseignement. Le soir de sa réouverture, le samedi 1erdécembre, il a fêté l’événement avec tapage. Ma voisine, présente chez elle ce soir là, berçait son bébé malade et n’a pas pu avertir la police au risque de le réveiller. Elle m’a décrit des hurlements et les bruits incessants toute la soirée. Le week-end dernier, nous avons appelé les services de police le vendredi soir et le samedi soir pour les mêmes raisons. Mêmes causes, mêmes effets. Les débordements se poursuivent comme les mois précédents. La soirée dégénère dès 22h30, lorsque le service de restauration cesse et que les débordements alcooliques s’accélèrent. Il n’a toujours pas de licence de bar. Il continue de diffuser de la musique à fort volume, en journée comme le soir, contrairement à ce qu’il avait négocié avec la préfecture, sans avoir réalisé les travaux ou les aménagements demandés. Ma demande aux services de la mairie d’un contrôle des émanations du bruit de la clientèle sont restés sans réponse. L’isolation entre le local et nos logements est particulièrement défaillante. On peut suivre avec délice les conversations d’ivrognes à tue-tête, les chants d’anniversaires répétés à l’infini, le fracas des coups portés sur le mobilier pour manifester de la joie… Sur Twitter, ses contacts continuent à vilipender les « voisins », responsables des ennuis du malheureux …. un établissement qui aurait valorisé notre quartier. Visiblement, le problème n’est pas le tapage occasionné par cet établissement, mais les familles et les particuliers qui ont le malheur de vivre à côté.

Que pouvons-nous attendre désormais ? Les fêtes approchent, le calendrier du restaurant se rempli de nouveaux rendez-vous alcoolisés. Notre inquiétude grandit…Aucune chance que nous ne soyons déçus, et que nous puissions profiter de cette période sereinement

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